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IMPROMPTUS
Cie H.M.G.
Deux protagonistes enlacés déambulent dans un jeu d’équilibre flottant et expérimentent une mobilité transformée d’être à deux têtes, quatre jambes et autant de bras.
Leur obstination à rester physiquement liés nous emporte dans la contemplation hypnotique d’une danse en suspension.
Une performance brève et sensible à la croisée du cirque et de la danse.

Distribution
Conception et interprétation : Jonathan Guichard et Lauren Bolze
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- Résidence
- cirque
En italien et en espagnol, TIRA signifie « tire ! ».
Ce titre a été choisi pour l’image évocatrice de tension qu’il véhicule. Lorsqu’une personne tire, cela crée une tension sur une autre, mais représente aussi la recherche spasmodique d’un équilibre.
TIRA se présente comme une exploration introspective et visuelle d’un couple et de sa fragilité, mettant en lumière des moments de tendresse et de manipulation. Il s’agit d’un jeu entre sensualité et violence.
Pour permettre au public de plonger dans l’esprit des personnages, de partager leurs doutes, leurs désirs et leurs contradictions, un choix a été fait en faveur d’une scénographie minimaliste, composée de lumières et de sons, afin de mettre en avant la communication non verbale : gestes, regards et mouvements subtils.
Tout cela vise à renforcer le caractère intime de l’œuvre et à permettre au spectateur de vivre pleinement chaque représentation.
** La sortie de résidence initialement prévue le 16 juillet n’aura pas lieu.**

- Festival
- cirque
Prenons le bus pour « vivre ensemble » un voyage unique !
Dans les bus ou aux arrêts de bus de la ville d’Auch, laissez-vous surprendre par les interventions poétiques, musicales et circassiennes des artistes de la compagnie l’Attraction Céleste !
De petits impromptus artistiques à saisir, le sourire aux lèvres !
10h45 : rdv à Pavie sur le marché
15h : Place de la Mairie Auch
16h08 : Hôpital d’Auch
17h21 : Arrêt Gardey (Quartier du Garros)
Avec la complicité de Kéolis (bus Alliance)
L’Attraction Céleste, compagnie auscitaine fondée en 2006 par Servane Guittier et Antoine Manceau est en compagnonnage avec Circa pour une durée de 3 ans de 2024 à 2027. Artistes pluridisciplinaires, Servane et Antoine utilisent divers arts (jeu d’acteur, musique, mouvement, clown, cinéma, arts plastiques… ) pour créer des spectacles originaux, dont l’objectif est de créer un rapport de forte proximité avec le spectateur.

- Festival
- cirque
Pièce pour deux clowns-acrobates, un tas de poussière et un aspirateur dévorant.
Sur scène, deux personnages sont pris dans un tas de poussière.
Ils sont bientôt rejoints par un aspirateur. Il est banal, il fait le travail, aspirant la matière qui disparait magiquement.
Enfin… pas tout à fait. Semblable à un animal fouissant le sol pour se nourrir constamment, il en devient presque vivant… et se fait de plus en plus menaçant. Et s’il finissait aussi par engloutir ces deux individus ?
Sa bouche d’aspiration pourrait bel et bien les soulever et les entraîner dans les hauteurs, là où la poussière qui voltige devient poussière d’étoiles, là où l’aspiration prend la dimension suprême d’un trou noir !
Ce jeu devient prétexte à évoquer des questionnements métaphysiques de l’enfance, sur le temps qui passe, le cycle de la vie et la disparition, avec beaucoup d’humour et de délicatesse.
A la lisière du théâtre d’objets, Aspirator emprunte aussi à la dimension symbolique des contes et à celle acrobatique et aérienne du cirque.
« Evoquer la poussière, qui n’est autre chose que le délitement, la fragmentation de la matière, c’est se pencher sur le minuscule, le presque invisible à l’œil nu.
Enfin, parfois on trouve bien de gros moutons (ou minons) de poussière.
C’est dérangeant ces « restes » du Temps, ça nous Le rappelle.
Un processus pourtant naturel ; le Temps accomplit son œuvre.
(…)
La poussière volatile qui se révèle et danse dans un trait de lumière m’a toujours causé un drôle d’effet ; nous évoluons constamment au travers de ces milliards de petites particules ;
Des acariens, un peu de Sahara, une pincée de météorites, une poignée de cheveux, des fibres de tissus, des squames, du pollen…
(…)
Et ce cycle de renouvellement et de transformation infini : cette décomposition de toutes ces matières, qui se déplacent par les airs, se dépose, agissant sur, et venant nourrir d’autres choses – n’est-ce pas le nôtre de cycle, et plus largement celui du vivant ? (…) »
Mélissa Von Vépy
Mélissa Von Vépy, conceptrice et interprète de Aspirator débute le cirque à l’âge de 5 ans puis intègre le CNAC dont elle sort diplômée en 1999 en tant que trapéziste.
Au sein de sa compagnie, Happés, elle créé des spectacles mêlant sa pratique de l’aérien, de la danse et du théâtre.
Les éléments scénographiques qu’elle conçoit font partie intégrante de la dramaturgie de ses pièces, toujours fondées sur l’expression aérienne : les dimensions physiques et intérieures de la Gravité.

- Festival
- cirque
El Dorado est un bal chorégraphique où les corps deviennent objets de jonglage.
Nicanor de Elia et la Compagnie NDE poursuivent ici leur recherche à la croisée de la danse, du jonglage et de l’acrobatie. Dans cette nouvelle création, les objets traditionnels disparaissent, et c’est le corps qui devient à la fois outil, matière et terrain de jeu. Bras, jambes, poings et têtes se transforment en figures à manipuler, dans une partition physique intense et poétique.
Les six interprètes investissent la scène et explorent, à travers une gestuelle rigoureuse et libre, les notions de manipulation, de contrôle et de confiance. Le dialogue entre manipulateur et manipulé devient moteur de création, soulevant des questionnements sur le corps en tant qu’objet, sculpté par l’autre, porté, lancé, déplacé.
Dans ce langage scénique radicalement nouveau, la virtuosité physique se conjugue à une grande humanité. Les corps s’entrelacent, s’affrontent ou se soutiennent dans une danse jonglée empreinte de tension et de tendresse.
Evoluant dans un univers visuel pop et psychédélique, les artistes nous entraînent dans une traversée sensorielle et collective. Ils interrogent la notion de groupe, l’élan vital qui les relie et la puissance expressive d’un geste partagé.
Une expérience scénique vivifiante et généreuse, portée par une énergie contagieuse.
Cie Nicanor de Elia – NDE
Créée et portée par l’argentin Nicanor de Elia, la Cie NDE a vu le jour à Bruxelles en 2015 et s’est installée à Toulouse depuis. La recherche de la compagnie est axée sur l’expression du corps à travers la manipulation d’objets, la danse contemporaine, les arts plastiques et la vidéo. Ces diverses influences sont en dialogue constant et les bords s’effacent afin que le cirque, la danse et les arts plastiques cohabitent.
Jusqu’ici, Nicanor de Elia, à la base jongleur, avait influencé son jonglage par la danse. Dans El Dorado, il prend le contre-pied, et influence la danse par le jonglage.
Pour ce projet, l’équipe est composée de six artistes au plateau issus d’écoles supérieures de cirque, autodidactes, et avec un parcours dans la danse contemporaine. Ils ont tous une base fondamentale en acrobatie et chorégraphie permettant d’explorer différents univers corporels.