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N DEGRÉS DE LIBERTÉ
Collectif In Itinere / Thylda Barès
Tarif plein : 16€
Tarif réduit : 12€
Spectacle visuel
Prédominance du texte
MAR 26 MAI / 20h
Sur un tréteau de 2m², sept comédiens et comédiennes de cinq nationalités différentes viennent incarner l’histoire d’une révolution qui ressemble à la Commune de Paris de 1871 mais qui ne finirait pas dans un bain de sang. S’emparer de l’utopie et lui donner corps au présent.
Dans cet espace restreint dans lequel ils et elles sont forcés de faire groupe, leurs corps disent la lutte, l’espoir et le collectif.
Sur le tréteau, le dialogue s’instaure entre le chaos de la révolution et celui de la météo. Et une tempête se prépare. Celle, inédite, d’un changement climatique, politique et social.
En physique, le nombre de degrés de liberté d’un système permet de déterminer à quel point celui-ci peut évoluer sans contrainte. Et ‘n’, c’est toujours l’inconnu.
Le collectif In Itinere et les sept comédiennes et comédiens tous issu.e.s de la formation Lecoq connue pour son approche physique du théâtre, proposent ici un théâtre du présent, où le passé éclaire nos luttes contemporaines. En mêlant images symboliques et évocations concrètes, n degré de liberté interroge notre rapport à l’engagement, au renoncement, et à la transmission des combats collectifs.
« C’est drôle et grave à la fois, surprenant et trépidant, un concentré d’humanité […] Leur approche gestuelle est remarquable et fait la singularité de leur travail. Une vraie belle découverte. » Sceneweb
« Il y a des spectacles qui vous comblent à tous les niveaux. Qui satisfont vos attentes et bien au-delà. n degrés de liberté est de ceux-là. Un spectacle magnifique ! » Froggy’s Delight
Le collectif In itinere est co-dirigé par Thylda Barès et Paul Colom. Il rassemble plus de 35 artistes venus du monde entier, toutes et tous issus de l’Ecole Internationale de Théâtre Jacques Lecoq.
« Nous travaillons autour de plusieurs axes : en utilisant le corps comme premier langage, en espace public et en lieux tiers (pour rencontrer des personnes qui ne vont pas forcément au théâtre), nous racontons des histoires qui traitent de sujets de société, nous prenons des contraintes différentes afin de prendre des risques à chaque spectacle. Enfin, nous voulons faire troupe, rassembler une équipe internationale et grandir ensemble ».
** Spectacle suivi d’un DJ set avec les artistes de la compagnie, au Bar du CIRC
Distribution
Avec : Andrea Boeryd (Suède) ; Victor Barrère (France) ; Nathan Chouchana (France) ; Paul Colom (France) ; Manon Dumonceaux (Belgique) ; Harry Kearton (Angleterre) ; Mahtab Mokhber (Iran).
Dramaturgie : Ezra Baudou
Accompagnement scientifique : Aglaé Jézéquel – ENS Paris ; Davide Faranda – CNRS Saclay
Création Lumière : Clémentine Pradier
Création Musicale : Victor Barrère
Création Sonore : Lucas Pizzini
Régie Son : Thylda Barès ou Lucas Pizzini
Régie Lumière : Clémentine Pradier ou Sebastien Roman ou Damien Gallot
Soutien Musical : Hall de la chanson – Lucie Sansen
Costumes : Marion Duvinage
Scénographie : Popito & Aurélien Izard
Administration : Vanessa Colas
Chargée de diffusion : Audrey Bottineau
Attachée de presse : Élodie Kugelmann
Partenaires
Co-Production : CNAREP – L’atelier 231 – Sotteville-lès-Rouen ; CNAREP – Le Fourneau – Brest ; Théâtre Le Passage – Scène Conventionnée d’Intérêt National de Fécamp ; ACB Scène Nationale de Bar-Le-Duc ; L’Étincelle – Théâtre(s) de la ville de Rouen ; ECAM – Kremlin Bicêtre ; Théâtre Victor Hugo – Bagneux ; Le Rayon Vert – Saint Valery-en-Caux ; La Scène de Recherche – ENS Paris-Saclay ; Théâtre de la Renaissance – Mondeville ; Théâtre Charles Dullin – Grand Quevilly ; Juliobona – Lillebonne ; Les Plateaux du Groupe Geste(s) ; FAAR – Fonds d’Aide pour des Arts Vivants Responsable.
Soutiens : Le Moulin de l’Hydre – Saint-Pierre-d’Entremont – Dispositif Pépinière d’Artistes ; Théâtre le Rive Gauche – Scène Conventionnée d’Intérêt National art et création de Saint Etienne du Rouvray ; Le Hall de la Chanson – Paris Villette ; Le Silo – Grand Paris Sud ; Le CCOUAC (Centre de Création Ouvert aux Arts en Campagne) – Montiers-sur-Saulx ; Le vent se lève – Paris ; Théâtre de l’Unité – Audincourt.
Aide à la création : DRAC Normandie ; Région Normandie ; Département de la Seine-Maritime ; aide Nationale à la création pour les Arts de la Rue.
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Allant vers
Cie Kiroul
Spectacle proposé par La Petite Pierre
« Le purgatoire au crépuscule, l’enfer sous les étoiles, le paradis au jour naissant, et au milieu, une nuit assurément peuplée de rêveries : les 26 et 27 septembre, la compagnie Kiroul vous fait vivre un Trip-tyque, celui de sa Divine Comédie ».
La Petite Pierre et Circa s’associent pour l’accueil de la Cie Kiroul avec le spectacle Allant vers, suivi le lendemain matin du spectacle Jours. Une occasion unique de vivre l’expérience du spectacle vivant en extérieur et de retrouver les artistes de la nuit au matin. A ne pas rater !
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Après le spectacle Allant vers à La Petite Pierre où les Kiroul revisitent l’enfer et le purgatoire, cette fois-ci, c’est au paradis de La Divine Comédie de Dante qu’ils et elles nous donnent rendez-vous pour la dernière partie de ce trip-tyque.
Alors, préparez-vous à assister à un défilé éclectique d’images et de personnages singuliers pour une sorte de stage sur la joie dans les années 80. De Nana Mouskouri à Léo Ferré, sans oublier Jean-Jacques Goldman, c’est un Paradis d’enfer que nous découvrirons.
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« Le matinal Jours, hymne à la joie comme à une écriture de plateau débridée, déverse une foule de personnages cocasses (…). Supers héros en roue libre, ange en fauteuil roulant, grande bringue enthousiaste et amateurs masqués en stage de développement personnel sont autant de chiens fous dans l’absurdité joyeuse du monde. Ils évoluent dans une dramaturgie chaotique encadrée par un excentrique gourou et commentée par un philosophe débraillé. Cette vision très éclectique de la joie ose toutefois insérer des images plus mélancoliques, l’ombre de la mort. Une moisson durable d’images et de chansons qui tournent en boucle. Un paradis foutraque qui électrise le vouloir vivre. »
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La compagnie Kiroul existe depuis 1998.
Elle est nombreuse, un peu dépressive, plutôt joyeuse et très largement gersoise. Depuis sa naissance, la compagnie a créé une dizaine de spectacles. Sa ligne artistique se définit par l’envie d’interroger le rapport au public et ce, dans des lieux plus improbables. Son univers est celui d’un théâtre de l’absurde et du décalé qui aborde avec profondeur, humour et étrangeté des questionnements actuels.
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Escapade au Festival Marionnettissimo
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Chaque année en novembre et durant 6 jours, le festival Marionnettissimo, dédié aux arts de la marionnette et des formes animées, est un temps foisonnant de découvertes et de convivialité. Une vingtaine de compagnies régionales, nationales et internationales et près de 10 000 spectateurs sont accueillis à Tournefeuille et en Haute-Garonne du 18 au 25 novembre 2025.
ET TON CUIR POURRAIT FENDRE
Cie Les Attracteurs Etranges
Elles sont trois. Trois femmes qui ont connu la détention. Mais surtout trois femmes qui racontent, avec une sincérité brute, ce qu’il y a eu avant -une enfance cabossée, des violences, des manques-, et ce qu’il y a après : la réinsertion, l’image de soi, le rapport aux autres, le combat pour retrouver une dignité. Ces femmes ont traversé le chaos mais portent en elles une lumière, l’espoir d’un renouveau.
Un projet profondément humain et politique qui vise à questionner nos regards, à déconstruire les préjugés et à donner la parole à celles que l’on n’entend jamais.
Le spectacle sera programmé par l’agglomération du Grand Auch Cœur de Gascogne en partenariat avec Circa vendredi 6 février 2026 à 20h à la salle des fêtes de Castin.
« Et ton cuir pourrait fendre » prend naissance à la lecture du livre Le coût de la virilité de Lucile Peytavin, révélant un fait marquant : 96 % des personnes incarcérées sont des hommes.
Mais alors, qui sont les 4 % de femmes en prison ? Qu’ont-elles traversé pour en arriver là ? Une enquête personnelle de la comédienne Marie Desmarès débute, portée par la volonté de comprendre la violence féminine, souvent liée à celle qu’elles ont subie auparavant.
Ce nouveau spectacle de la Cie Les Attracteurs Etranges s’inscrit dans la continuité de la trilogie théâtrale précédente Est-ce que ce monde est sérieux ?, qui traitait du monde du travail et dont Circa avait accueilli le spectacle Ce qui l’en coûte sur le système de santé.
Il explore la violence sous toutes ses formes — intime, sociale, économique — à travers le prisme de la condition carcérale féminine. Car de ces femmes, on sait peu. Elles sont souvent isolées, marginalisées, profondément marquées par leur détention, dans leur corps comme dans leur esprit.
À travers une démarche d’investigation (rencontres avec des ex-détenues, des professionnels du milieu judiciaire et social), cette création veut faire entendre leurs récits : histoires de souffrance, de rupture, mais aussi de résistance, de résilience et de reconstruction.
Les Attracteurs Etranges
Les Attracteurs Etranges est une compagnie théâtrale gersoise attachée aux écritures contemporaines et aux formes hybrides. Textes, musique, chants et corps tissent leurs spectacles. Autour du travail de Marie Delmarès, les Attracteurs Etranges se font l’écho des problématiques de notre époque en s’intéressant à des thématiques sociétales. La Cie porte la parole des êtres à la marge, des invisibles ou oubliés, peu représentés sur les scènes de théâtre. Autour d’un Théâtre Documenté, elle nous raconte des « petites » histoires humaines qui entrent en résonnance avec de « grands » sujets pour nous inviter à changer notre regard sur la société.
La démarche artistique de la compagnie
Le travail de création de Marie Delmarès s’inscrit dans une réflexion plurielle et transversale. Elle se nourrit des rencontres interculturelles sur les différents territoires qu’elle traverse. Comme base de sa création, un travail documentaire qui vient ensuite alimenter le récit.